Du pré-évènementiel à la méthode: Veille « circulaire » et observation globale
Veille et observation .
Supposons l’occurrence d’un évènement. C’est un fait nouveau, distinct dans l’espace et le temps. Au moment de sa réalisation ce fait est central, en raison d’une phase montante, avant, et d’un retour à la normale voire rétablissement, aval ou postérieur.
Autour de l'évènement en question, trois temps se décomposent, avant, phase ou l’on a la faculté d’éviter, pendant, mesures d’urgences seules applicables, et post- évènement, réparations et coût de rétablissement impliquent des charges imprévues.
Quelle réponse proposer face à ce type d'éventualité,
Surveillance « circulaire »
Posons le principe d’un état de veille qui s’inspire du fait que l’on ne doit rien laisser de coté, sauf d’en accepter le risque, volontairement écarté. Cela peut consister à mettre en place un système(3) idéal, capable de faire le tour à 360° des choses et donc entier.
Ce premier cercle vertueux appelle un processus particulier.
Surveillance globale
Trois sujets centraux d’une unité de travail doivent être éprouvés:
humain[1], matériel[2] et organisationnel[3]. Si ces trois cibles ne sont pas « traitées », la composante sécurité est partiellement structurée.
La sécurité fait partie des principes applicables globalement.
Le processus particulier est de raisonner sécurité selon les trois temps: penser amont, prévention, pendant, sécurité, et aval, vigilance. La permanence est seule garante de la maîtrise des risques, la posture de vigilance en est le cœur.
En conclusion le port des équipements de protection est également permanent, au poste de travail bien entendu.
Ce processus pour être « vertueux » émanera d’une volonté commune pour s’appliquer globalement dans l’organisation de l’unité de travail. Son absence dans telle partie d’une unité de travail est source de contradiction lors de la mise en œuvre et d’aggravation des risques.